Message de la Directrice générale de l'UNESCO
Nous célébrons aujourd’hui le lancement de l’Année internationale de la jeunesse, proclamée par les Nations Unies, qui est axée sur le thème du dialogue et de la compréhension mutuelle. Il y a maintenant 25 ans, soit plus d’une génération, que les Nations Unies ont spécialement dédié une année à la jeunesse. Forte d’un milliard deux cent mille jeunes âgés de 15 à 24 ans, la jeunesse a l’énergie et la motivation nécessaires pour proposer des solutions novatrices aux défis mondiaux qui se posent aujourd’hui et le désir et les moyens de créer des passerelles de dialogue entre les cultures.
Cette Année a pour objectif de faire mieux connaître la contribution des jeunes à la société, de les aider à relever les défis auxquels ils sont confrontés et de les encourager à participer à des initiatives de développement, depuis le niveau communautaire jusqu’au niveau mondial.
Il nous faut ouvrir davantage de lieux, et offrir davantage d’occasions, pour nourrir l’engagement civique et permettre à la jeunesse de contribuer à forger son avenir. À cinq ans de la date butoir de 2015, fixée pour la réalisation des Objectifs du Millénaire pour le développement, il est plus important que jamais d’encourager les jeunes à se consacrer à la création d’un monde plus juste et plus durable.
Notre but est de tirer parti du potentiel que constitue la jeunesse en tant que partenaire du développement et de la paix. Le Forum des jeunes de l’UNESCO, organisé depuis 1999, fait désormais partie intégrante de toutes les sessions de la Conférence générale de l’UNESCO, organe directeur suprême de l’Organisation. Ce Forum offre à des jeunes originaires de tous les États membres l’occasion de connaître les programmes de l’UNESCO et de participer plus activement à des actions tangibles dans leurs pays respectifs. Le Forum des jeunes de l’UNESCO 2011 fournira à tous les organismes des Nations Unies, et à d’autres partenaires, une tribune où rendre compte des activités qu’ils auront menées pendant l’Année internationale de la jeunesse et de présenter des pistes d’action pour l’avenir.
Les deniers publics investis dans la jeunesse génèrent des avantages durables pour l’ensemble de la société. La crise économique et financière mondiale a rendu le monde plus périlleux pour les jeunes, surtout ceux appartenant à des groupes vulnérables ou marginalisés. Les politiques de la jeunesse qui favorisent l’équité et entament directement le dialogue avec les jeunes doivent être renforcées. Les politiques d’aide au développement devraient être davantage orientées vers les besoins et les préoccupations des jeunes.
L’UNESCO s’est engagée à autonomiser les jeunes et à veiller à ce que leur voix soit entendue. Elle copréside actuellement le Réseau interinstitutions des Nations Unies pour l’épanouissement des jeunes qui a été officiellement créé en février 2010 au Siège de l’UNESCO. La mise en place de ce réseau constitue une étape importante vers une meilleure coordination de nos connaissances et de nos réflexions sur la jeunesse et de notre action à son égard, ce qui nous permettra d’améliorer l’incidence de nos travaux. L’Organisation renforcera le soutien qu’elle apporte aux États membres dans l’élaboration de politiques et programmes efficaces concernant les jeunes, allant de l’accès à des possibilités éducatives de qualité à la promotion de la diversité culturelle, aux mesures permettant de combattre la violence des jeunes et au sport au service du développement et de la paix en passant par l’autonomisation des jeunes femmes et les partenariats pour lutter contre le VIH et le SIDA.
En reconnaissant la diversité des contributions que les jeunes peuvent apporter à la promotion de la compréhension mutuelle, l’Année internationale de la jeunesse fait sienne la vision de l’UNESCO selon laquelle il faut « construire la paix dans l’esprit des hommes » et adopte l’objectif de l’Année internationale du rapprochement des cultures dont l’UNESCO est le chef de file.
Il faut offrir aux jeunes des possibilités de participer en tant que partenaires respectés au processus de décision et à l’action à tous les niveaux. C’est dans l’intérêt de chacun de les autonomiser en les dotant des compétences dont ils ont besoin pour construire un avenir plus durable. J’en appelle aux gouvernements et à la communauté internationale pour qu’ils agissent main dans la main avec la jeunesse, et encourage les jeunes du monde entier à saisir l’occasion qu’offre l’Année internationale pour établir des réseaux, partager des idées et lancer des initiatives en faveur de la paix, de la compréhension internationale et du développement pour tous.
Cette Année a pour objectif de faire mieux connaître la contribution des jeunes à la société, de les aider à relever les défis auxquels ils sont confrontés et de les encourager à participer à des initiatives de développement, depuis le niveau communautaire jusqu’au niveau mondial.
Il nous faut ouvrir davantage de lieux, et offrir davantage d’occasions, pour nourrir l’engagement civique et permettre à la jeunesse de contribuer à forger son avenir. À cinq ans de la date butoir de 2015, fixée pour la réalisation des Objectifs du Millénaire pour le développement, il est plus important que jamais d’encourager les jeunes à se consacrer à la création d’un monde plus juste et plus durable.
Notre but est de tirer parti du potentiel que constitue la jeunesse en tant que partenaire du développement et de la paix. Le Forum des jeunes de l’UNESCO, organisé depuis 1999, fait désormais partie intégrante de toutes les sessions de la Conférence générale de l’UNESCO, organe directeur suprême de l’Organisation. Ce Forum offre à des jeunes originaires de tous les États membres l’occasion de connaître les programmes de l’UNESCO et de participer plus activement à des actions tangibles dans leurs pays respectifs. Le Forum des jeunes de l’UNESCO 2011 fournira à tous les organismes des Nations Unies, et à d’autres partenaires, une tribune où rendre compte des activités qu’ils auront menées pendant l’Année internationale de la jeunesse et de présenter des pistes d’action pour l’avenir.
Les deniers publics investis dans la jeunesse génèrent des avantages durables pour l’ensemble de la société. La crise économique et financière mondiale a rendu le monde plus périlleux pour les jeunes, surtout ceux appartenant à des groupes vulnérables ou marginalisés. Les politiques de la jeunesse qui favorisent l’équité et entament directement le dialogue avec les jeunes doivent être renforcées. Les politiques d’aide au développement devraient être davantage orientées vers les besoins et les préoccupations des jeunes.
L’UNESCO s’est engagée à autonomiser les jeunes et à veiller à ce que leur voix soit entendue. Elle copréside actuellement le Réseau interinstitutions des Nations Unies pour l’épanouissement des jeunes qui a été officiellement créé en février 2010 au Siège de l’UNESCO. La mise en place de ce réseau constitue une étape importante vers une meilleure coordination de nos connaissances et de nos réflexions sur la jeunesse et de notre action à son égard, ce qui nous permettra d’améliorer l’incidence de nos travaux. L’Organisation renforcera le soutien qu’elle apporte aux États membres dans l’élaboration de politiques et programmes efficaces concernant les jeunes, allant de l’accès à des possibilités éducatives de qualité à la promotion de la diversité culturelle, aux mesures permettant de combattre la violence des jeunes et au sport au service du développement et de la paix en passant par l’autonomisation des jeunes femmes et les partenariats pour lutter contre le VIH et le SIDA.
En reconnaissant la diversité des contributions que les jeunes peuvent apporter à la promotion de la compréhension mutuelle, l’Année internationale de la jeunesse fait sienne la vision de l’UNESCO selon laquelle il faut « construire la paix dans l’esprit des hommes » et adopte l’objectif de l’Année internationale du rapprochement des cultures dont l’UNESCO est le chef de file.
Il faut offrir aux jeunes des possibilités de participer en tant que partenaires respectés au processus de décision et à l’action à tous les niveaux. C’est dans l’intérêt de chacun de les autonomiser en les dotant des compétences dont ils ont besoin pour construire un avenir plus durable. J’en appelle aux gouvernements et à la communauté internationale pour qu’ils agissent main dans la main avec la jeunesse, et encourage les jeunes du monde entier à saisir l’occasion qu’offre l’Année internationale pour établir des réseaux, partager des idées et lancer des initiatives en faveur de la paix, de la compréhension internationale et du développement pour tous.
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