En inaugurant, le 23 février 2012, le Centre de développement spatial de l’Agence spatiale algérienne (ASAL), le président Abdelaziz Bouteflika a affirmé avec force l’importance de réaliser et de lancer, avant 2014, le satellite de télécommunications Alcomsat-1 pour assurer l’autonomie de l’Algérie dans ce domaine. Le Centre de développement spatial, dont la construction avait démarré en 2008, est bâti sur un espace de plus de quatre hectares pour un coût de 5,5 milliards de dinars (76 millions de dollars).
Le Centre de développement des satellites (CDS), un projet qui s'inscrit dans le cadre du programme national spatial horizon 2020. Appartenant à l'Agence nationale spatiale (ASAL), le CDS a pour mission de concevoir et de développer, avec des spécialistes et ingénieurs algériens, des outils spatiaux au profit du développement économique, social et culturel du pays.
Lors de la cérémonie d'inauguration, le président Bouteflika a mis l'accent sur la nécessité de réaliser et de lancer d'ici 2014 le satellite de télécommunication "Alcomsat 1", afin d'assurer l' autonomie nationale dans ce domaine. Lancé en 2008, le Centre comporte un bâtiment destiné à l' intégration des satellites en salle blanche et un autre réservé aux essais d'environnement, permettant des intégrations et des essais sur des satellites pesant jusqu' à 1.000 kg.
C’est en 2006 que l’Algérie s’est dotée d’un programme spatial et, dans ce domaine, le pays coopère avec l’Inde, l’Europe et les Etats-Unis. L'Algérie avait développé deux satellites déjà été lancés, Alsat-1 (en 2002) et Alsat-2A (en 2010). Le premier satellite algérien, Alsat 1, qui fait partie du DMC (Disaster Monitoring Constellation), vise à fournir des images multi-spectrales pour la surveillance des catastrophes naturelles, tandis que le deuxième engin, Alsat-2A, est un satellite d'observation de la terre à haute résolution.
Le satellite Alcomsat-1, devrait être propulsé d’ici 2014. Il sera exclusivement dédié aux télécommunications.
C’est en 2006 que l’Algérie s’est dotée d’un programme spatial et, dans ce domaine, le pays coopère avec l’Inde, l’Europe et les Etats-Unis. L'Algérie avait développé deux satellites déjà été lancés, Alsat-1 (en 2002) et Alsat-2A (en 2010). Le premier satellite algérien, Alsat 1, qui fait partie du DMC (Disaster Monitoring Constellation), vise à fournir des images multi-spectrales pour la surveillance des catastrophes naturelles, tandis que le deuxième engin, Alsat-2A, est un satellite d'observation de la terre à haute résolution.
Le satellite Alcomsat-1, devrait être propulsé d’ici 2014. Il sera exclusivement dédié aux télécommunications.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire