Souk Ahras , ce nom porte entre ses lettres les secrets des civilisations, les épopées légendaires, les chefs-d’œuvre des cultures et les gloires de l’Histoire. Telle une grande perle, synonyme de l’originalité et du patrimoine enraciné, Souk Ahras est un berceau de l’art et de la créativité.
La beauté a façonné son relief et l’a logé entre des plaines, des cours d’eau et des montagnes, afin qu’elle apparaisse comme une forteresse gardant ses trésors.
Souk Ahras se dessine comme une éblouissante mosaïque composant de lumières et de couleurs, permettent au soleil de tisser les plus belles lumières et de réaliser de prodigieuses fresques.
De hautes montagnes, de vertes prairies, des eaux éclatantes de blancheur jaillissent de sources fraîches. Souk Ahras est aussi une terre de civilisations et des créations humaines.
Souk Ahras, la légende de l’Atlas, qui est toust cela et bien plus, vous invite à sa visite et à la découverte de ses nombreux secrets.
La beauté a façonné son relief et l’a logé entre des plaines, des cours d’eau et des montagnes, afin qu’elle apparaisse comme une forteresse gardant ses trésors.
Souk Ahras se dessine comme une éblouissante mosaïque composant de lumières et de couleurs, permettent au soleil de tisser les plus belles lumières et de réaliser de prodigieuses fresques.
De hautes montagnes, de vertes prairies, des eaux éclatantes de blancheur jaillissent de sources fraîches. Souk Ahras est aussi une terre de civilisations et des créations humaines.
Souk Ahras, la légende de l’Atlas, qui est toust cela et bien plus, vous invite à sa visite et à la découverte de ses nombreux secrets.
Localisation géographique et superficie et populations
La wilaya de Souk Ahras se situe à l’extéme est du pays, prés de la frontiére tunisienne, à 640 kilométres d’Alger. Elle est considérée comme l’une des plus importantes wilayas de Tébessa et de Guelma, Souk Ahras s’est hissée au rang de wilaya, en vertu du découpage administratif de 1984.
Elle est limité au nord-est par la wilaya de Tarf, au nord-ouest par par la wilaya de Guelma, au sud par la wilaya de Tébessa, au sud-ouest par la république tunisienne.
La wilaya di Souk Ahras occupe une superficie de 4360 km². Elle se subdivise en 10 daïras et 26 communes qui regroupent prés de 454000 habitants. Souk Ahras est distante de 97 km de l’aéroport international et du port de Annaba, elle est également à 40km de la lié d’Elle-hadada.
Elle est limité au nord-est par la wilaya de Tarf, au nord-ouest par par la wilaya de Guelma, au sud par la wilaya de Tébessa, au sud-ouest par la république tunisienne.
La wilaya di Souk Ahras occupe une superficie de 4360 km². Elle se subdivise en 10 daïras et 26 communes qui regroupent prés de 454000 habitants. Souk Ahras est distante de 97 km de l’aéroport international et du port de Annaba, elle est également à 40km de la lié d’Elle-hadada.
Climat Le climat de Souk Ahras est influence par des facteurs qui lui donne des caracteristiques specifiques. Distante de 80 kilometre de la mer Mediterrnee, la penetration des courants marins humides est aisee. Le nord se caracterise par un relief montagneux couvert par une richesse forestiere appreciable. Quant au sud, il est constitue par le prolongement des hauts plateaux qui s'alignent en face de regions sub-sahariennes, ce qui l'expose a un vent relativement chaud.
De ce fait, le nord de la wilaya beneficie d'un climat semi-humide alors que le sud subit un climat semi-aride.
Souk Ahras se distingue par un ete chaud et sec et un hiver froid et humide. La pluviometrie atteint 650mm par an au nord et 350 mm par an au sud.
Les hauteurs enregistrent une chute de neige importante durant l'hiver, la temperature oscillant entre 1 et 15 degres en hiver et entre 25 et 32 degres en ete. Le sirocco et des vents nord-ouest soufflent sur Souk Ahras. L’espace vital
De ce fait, le nord de la wilaya beneficie d'un climat semi-humide alors que le sud subit un climat semi-aride.
Souk Ahras se distingue par un ete chaud et sec et un hiver froid et humide. La pluviometrie atteint 650mm par an au nord et 350 mm par an au sud.
Les hauteurs enregistrent une chute de neige importante durant l'hiver, la temperature oscillant entre 1 et 15 degres en hiver et entre 25 et 32 degres en ete. Le sirocco et des vents nord-ouest soufflent sur Souk Ahras. L’espace vital
L’espace vital de Souk Ahras se subdivise en trois régions principales déterminées par la spécificité géographique di terrain. Elles se présentent comme suit :
La région nord-est C’est une région montagneuse qui est formée principalement d’une chaîne de montagnes telliennes couvertes par une richesse forestière appréciable aux reliefs divers.
L’altitude de ses montagnes se situe entre 1260 et 1400m.
Cette région pratique l’élevage bovin à grande échelle. La région sud-est C’est une région d’altitude moyenne et de relief régulier comportant des plaines orientées vers l’activité agricole en raison de la fertilité de ses terres et de la bonne qualité de ses produits agricoles. Les bergers y trouvent les meilleurs pâturages pour leur bétail.
La région du sud Cette région se caractérise par l’extensibilité de ses terres. Elle est également connue la région des hauts plateaux. Se prolongent en elle des terres
L’altitude de ses montagnes se situe entre 1260 et 1400m.
Cette région pratique l’élevage bovin à grande échelle. La région sud-est C’est une région d’altitude moyenne et de relief régulier comportant des plaines orientées vers l’activité agricole en raison de la fertilité de ses terres et de la bonne qualité de ses produits agricoles. Les bergers y trouvent les meilleurs pâturages pour leur bétail.
La région du sud Cette région se caractérise par l’extensibilité de ses terres. Elle est également connue la région des hauts plateaux. Se prolongent en elle des terres
SOUK-AHRAS PENDANT LA LUTTE DE LIBERATION
Des novembre 1954, les populations de la région se soulevèrent à l’appel du FLN, avec une foi et une confiance inébranlables. Le 20 novembre 1954, tombait au champ d’honneur l’enfant chéri de Souk-Ahras, le Chahid Badji Mokhtar, montrant par son esprit d’abnégation et au prix du sacrifice de sa vie, la voie à suivre à une multitude de héros.
Touchée profondément en son amour propre, la région de Souk-Ahras participa activement à toutes les formes de mobilisation préconisées par l’ALN et s’adapta, au prix de lourdes pertes, à toutes les formes de lutte imposées par l’ennemi.
Ainsi, répondant à l’appel du front, 111 algériens incorporés dans l’armée française désertent avec leurs armes à « El Btiha (Hennancha) au douar « Dahouara », 306 civils innocents payaient de leur vie la tribu de cet acte téméraire. Un peu plus tard, lorsque l’A.L.N, généralisant les méthodes de lutte révolutionnaire, décida de porter la guerre jusqu’au cœur des cités où les colonialistes se croyaient protégés. Les rues de Souk-Ahras retentirent au cliquetis des mitraillettes, annonçant inexorablement l’achèvement de l’indépendance.
En effet, toute la population mobilisée au mépris des œuvres ridicules des « SAS » accueillait, protégeait, nourrissait et acheminait les convois chargés d’armes et de vivres. Pour tenter de faire face à ce soulèvement des cœurs concrétisé par des actions quotidiennes de déstabilisation de la présence française, le commandement ennemi déclarait la région « Zone de contrôle renforcée » interdisait les déplacements et, isolait dans des camps de regroupement des douars entiers.
Multipliant les rafles, il croyait couper le peuple de ses valeureux fils embrigadés dans les djebels.
Il décrétait aussitôt la construction de ligne MORICE : ainsi, à la terreur des ratissages et des tortures, s’ajoutait la traitrise des mines.
Touchée profondément en son amour propre, la région de Souk-Ahras participa activement à toutes les formes de mobilisation préconisées par l’ALN et s’adapta, au prix de lourdes pertes, à toutes les formes de lutte imposées par l’ennemi.
Ainsi, répondant à l’appel du front, 111 algériens incorporés dans l’armée française désertent avec leurs armes à « El Btiha (Hennancha) au douar « Dahouara », 306 civils innocents payaient de leur vie la tribu de cet acte téméraire. Un peu plus tard, lorsque l’A.L.N, généralisant les méthodes de lutte révolutionnaire, décida de porter la guerre jusqu’au cœur des cités où les colonialistes se croyaient protégés. Les rues de Souk-Ahras retentirent au cliquetis des mitraillettes, annonçant inexorablement l’achèvement de l’indépendance.
En effet, toute la population mobilisée au mépris des œuvres ridicules des « SAS » accueillait, protégeait, nourrissait et acheminait les convois chargés d’armes et de vivres. Pour tenter de faire face à ce soulèvement des cœurs concrétisé par des actions quotidiennes de déstabilisation de la présence française, le commandement ennemi déclarait la région « Zone de contrôle renforcée » interdisait les déplacements et, isolait dans des camps de regroupement des douars entiers.
Multipliant les rafles, il croyait couper le peuple de ses valeureux fils embrigadés dans les djebels.
Il décrétait aussitôt la construction de ligne MORICE : ainsi, à la terreur des ratissages et des tortures, s’ajoutait la traitrise des mines.
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