Pages

lundi 23 janvier 2012

Rejoignez nous sur facebook

Le Club International des Jeunes à Souk-Ahras (C.I.J.S.A)
Sont à la recherche de représentants du club dans toutes les régions du monde
نبحث عن ممثلي النادي في جميع مناطق العالم
http://www.facebook.com/c.i.j.s.a
➨ Svp Cliquer sur j'aime ET partager ♥ ♥ 

Carte de l'Algérie : Carte Générale


Carte de l'Algérie : Carte générale
http://www.saravoyages.com/soukahras.html

Souk-Ahras (Thagaste)سوق أهراس




Étymologie
«Terre d'histoire et de nature»
Souk-Ahras est extrait de deux mots : l'arabe souk (سوق) qui signifie « marché » et le berbère chaoui ahras « lion » (en raison de la présence de ces animaux jusqu'en 1930 dans ses forêts), donnant ainsi "le marché des lions".
Histoire
Ville natale de Saint Augustin (né le 13 Novembre 354), évêque d'Hippone1, Souk-Ahras a joué un rôle important dans l'histoire politique et culturelle de l'Algérie en raison de sa position stratégique. Carrefour des civilisations numide, puis romaine et enfin berbère elle fut le lieu de fortifications militaires (Madaure, Tifèche, Khemissa...) que de centres urbaines. Pendant la colonisation française, elle est devenue une importante ville commerciale assurant les échanges entre le sud, le nord-est algérien et la Tunisie. Pendant la révolution, elle a abrité dans les djebels des Ouled Bechiah une base autonome des différentes Wilayas de l'Armée de Libération Nationale, appelée Base de l'Est. A l'indépendance, elle est entrée en déclin malgré le fait qu'un grand nombre des dirigeants politiques et militaires du pays en étaient originaires.
Géographie
Géographiquement, elle est située dans un cuvette, entourée de montagnes boisées comme le Djebel Boussalah. Elle est aussi traversée par un des principaux oued maghrébin, la Medjerda. Elle est entourée par la République Tunisienne à l'est, la Wilaya deGuelma (24) au nord ouest, la Wilaya de Oum-El-Bouaghi (04) au sud ouest , la Wilaya de Tébessa (12) au sud
Ville natale de Saint Augustin (né le 13 Novembre 354), évêque d'Hippone1, Souk-Ahras a joué un rôle important dans l'histoire politique et culturelle de l'Algérie en raison de sa position stratégique. Carrefour des civilisations numide, puis romaine et enfin berbère elle fut le lieu de fortifications militaires (Madaure, Tifèche, Khemissa...) que de centres urbaines. Pendant la colonisation française, elle est devenue une importante ville commerciale assurant les échanges entre le sud, le nord-est algérien et la Tunisie. Pendant la révolution, elle a abrité dans les djebels des Ouled Bechiah une base autonome des différentes Wilayas de l'Armée de Libération Nationale, appelée Base de l'Est. A l'indépendance, elle est entrée en déclin malgré le fait qu'un grand nombre des dirigeants politiques et militaires du pays en étaient originaires.
Géographiquement, elle est située dans un cuvette, entourée de montagnes boisées comme le Djebel Boussalah. Elle est aussi traversée par un des principaux oued maghrébin, la Medjerda. Elle est entourée par la République Tunisienne à l'est, la Wilaya de Guelma (24) au nord ouest, la Wilaya de Oum-El-Bouaghi (04) au sud ouest , la Wilaya de Tébessa (12) au sud , et la Wilaya de El-Taref (36) au nord.
Berbère, né en 354 à Tagaste, en Africa, il mourra évêque d'Hippone en 430, alors que les Vandales assiègent la ville », Fernand Braudel, Grammaire des civilisations (1963), Flammarion, 2008, chap. II-Christianisme, humanisme, pensée scientifique, p. 453

- Toponymie :

Lion de Barbarie symbole de la ville
Souk Ahras est issu de la combinaison de deux mots, le premier arabe: souk (سوق) qui signifie « marché », et le deuxième berbère (chaoui) ahras (ⴰⵁⵔⴰⵚ) qui est le plurielle de Aher (ⴰⵁⵔ) et qui signifie « lions » , et cela en raison de la présence de ces animaux jusqu'en 19308 dans ses forêts.

Nombres d'animaux féroces tués à Souk Ahras et sa région entre 1877-1892
Année 1877 1878 1879 1880 1881 1887 1891 1892
Lions 3 4 5 3 1 ? 1 ?
Panthers 2 7 5 7 2 8 2 4

Sources : Dr.Rouquette, Monographie de la commune Mixte de Souk Ahras, 1904, p. 274
La deuxième légende rapporte que à l'origine elle s'appelait Souk Ras qui veux dire, Marché des têtes, la ville ayant abrité dans le passé un marché où l'on vendait des têtes momifiées d'animaux sauvages, notamment les lions les ours les éléphants et les guépards. Plusieurs desseins rupestre, notamment à Kef Lemsaoura, et des mosaïques, qui ont été trouvé sur des sites proches de la ville, montre les scènes de chasses aux animaux sauvages.

L'ancien nom numide de la ville Thagaste, dérive du berbère, Thagoust, dans le sens de sac, compte tenu du site de la ville située au pied d'une montagne entourée de trois cimes qui prend la forme d'un sac les contenant. Par la suite, quand les arabes pénétrèrent dans la région elle fut appeler Soukara. Dans d'autres sources elle est citée comme Le Palais de l'Africain, selon az-Zahiri.

- Population :

Les habitants de la ville de Souk Ahras sont d'origine berbères. Ils sont essentiellement issues des différentes régions de la wilaya de Souk Ahras et des wilayas limitrophes. Les premières tribus s'étant établies à Souk Ahras furent connues sous le nom des Papiria9,10, ou Babiria du nom de berbères, composée de Causses et de Syliactae11. Les tribus de Mousoulami et de Kirina y résidèrent. On peut citer parmi les autres tribus : les Hnanchas qui se sont développés le plus et les Hrakta qui ont tous des origines berbères. Ces tribus vivaient dans des tentes et pratiquèrent le nomadisme. Elles se sédentarisèrent plus tard et fondèrent des villes propres à chacune d'elles, dont la ville de Souk Ahras, ancienne Thagaste.

- Personnalités liées à la ville de Souk-Ahras :

Saint Augustin, Penseur et Théologien
Martianus Capella, écrivain, physicien, auteur des Noces de Philologie et de Mercure
Apulée, écrivain latin, auteur de Métamorphose l'un des premier roman de l'histoire
Maxime de Madaure, auteur de Sophronime et Adélos, entretient philosophique
Nonius Marcellus, grammairien du latin, auteur de De compendiosa doctrina, dictionnaire en 20 volumes
Alypius de Thagaste, évêque de Taghast durant l'invasion vandale
Tacfarinas, révolutionnaire Numide
Ahmad al-Tifachi, scientifique et auteur
Kateb Yacine, écrivain et militant, en est originaire
Tahar Ouettar, écrivain
Mustapha Kateb, acteur, homme de théâtre
Mohamed Chérif Messaadia, militaire et homme politique
Warda, chanteuse
Beggar Hadda, chanteuse de folklore algérien
El Hadj Bouregaa, poète et chanteur de folklore algérien

- Religion :

Parmi les monuments sacrés de la ville, figure le mausolée de Sidi Messaoud, le père spirituel de Souk Ahras. Il est Sidi Messaoud Ben Boubaker le Cheikh de la Zaouïa El‑Qadiriyya de cette région. La Zaouïa assuma un rôle important, car constituant un phare de l'éthique vertueuse et des nobles sciences islamiques. Durant sa vie, il érigea de ses propres revenues, le Mausolée, là où il priait longuement.
Après son décès, aux environs de l'an 1770 de l'ère chrétienne, il y fut enterré. En 1840, le monument se détériora. Il est reconstruit par El‑Hadj Chafaâ, l'un de ses petits fils qui lui donna sa forme actuelle. Sur le mausolée apparaissent les traces de l'architecture néo-mauresque. L'intérieur fut décoré de poteries et de diverses catégories de tapis.

- Sports :
L'entente sportive de Souk Ahras (ESSA), est le porte drapeau de la ville dans plusieurs sports, notamment le football, où elle évolue en ligue régionale d'Annaba.
Le tour de Souk Ahras rassemble chaque année plus de 150 cyclistes de toutes les ligues algériennes.
L'histoire sportive de la ville retient le boxeur Tabet Salah des années 40/50 et l'équipe de football des années 70 lorsque l'ESSA évoluait en 2éme division et a gagné plusieurs coupes.

- L'occupation française :

Blason de la ville de Souk Ahras pendant la période coloniale.
Le 25 mai 1843, les troupes de l'armée française occupèrent la ville de Souk Ahras en deux campagnes. Au début de l'année 1856, Souk Ahras a enregistré les premières vagues des colons qui arrivèrent d'Europe, en vue de s'y établir, attirés par ses atouts naturels et climatiques et par ses potentialités agricoles, commerciales, et industrielles, ce qui entraîna la mise en place d'un centre de résidents européens à Souk Ahras.
En réaction à cette situation, les habitants de Souk Ahras se soulevèrent contre l'occupation française par le biais de résistances populaires, dont la plus connue fut la résistance des Hnancha sous la direction de Mohamed El‑Kablouti, ou ce qui est également connu par la résistance des Spahis en 1871. Cette résistance se développa parmi les tribus des Hnancha, comme une réaction aux mauvais traitements auxquelles furent soumis les habitants locaux, ainsi qu'à la décision de transfert d'un grand nombre de personnes des Sabahia, en vue de leur participation, aux côtés des Français, à la guerre qui les opposait aux Prusses. Cette révolte eut un impact sur tous le territoire national. Quelque mois plus tard la révolte du Mokrani éclata.
Après le mouvement des Spahis, le champ de vengeance à l'encontre des autorités françaises s'élargit. Les tribus de Souk Ahras trouvèrent l'occasion propice pour exprimer leur refus de l'occupation. Elles se regroupèrent pour former la résistance populaire sous la direction des Cheikhs des Hnancha, à l'exemple de Cheikh Ahmed Assaîah, et El‑Foudheil Ben Razki.
Toutefois, le renforcement des forces françaises et la répression très dure du soulèvement, poussa El‑Kablouti et se compagnons à la retraite vers la Tunisie.
Au début du 19e siècle, la résistance prit une nouvelle forme à Souk Ahras. Ce fut le début de la lutte intellectuelle et politique, plus particulièrement après l'apparition de l'association des Oulémas musulmans d'Algérie et le mouvement national, représenté par le parti de la victoire des libertés démocratiques le parti du peuple et l'organisation secrète.

- La révolution de 1954 :
Au moment du déclenchement de la révolution de 1954, Souk Ahras constitua un élément très important. Elle était affiliée à la deuxième région du Nord Constantinois. Après la chute au champ d'honneur de Badji Mokhtar et l'ébranlement de sa situation, elle devint une partie de la première région Aurès Nmemcha, depuis octobre 1955. Après la consolidation de la révolution et son intensification, la région frontalière de Souk-Ahras acquit une grande importance vu sa situation stratégique et sa position sur les frontières de l'est. Les Moudjahidines pouvaient ainsi s'approvisionner en armes et en munitions. C'est pour cela que fut fondée la base de l'est en 1957, dont Souk Ahras abritait le centre de commandement. La base fut créée dans le but de superviser directement l'organisation de l'Armée de libération nationale sur les frontières.
Son existence dura près de deux années, et elle opéra le recyclage de l'armée de libération en 1959 et 1960 suivant des techniques et des procédés nouveaux, à la suite de la prise en charge, par le Colonel Houari Boumediene, de l'État Major, de l'Armée de Libération. Boumédiène fut secondé par le commandant Slimane Gaïed Ahmed et le commandant Ali Mendjli. Il leur fut adjoint par la suite le commandant Azzedine. La base donna un nouvel élan à la Révolution, particulièrement dans le domaine du financement, de l'approvisionnement et les affrontements contre les centres du colonialisme français sur les lignes Challe et Maurice.
Souk Ahras a participé à la Révolution, en collaboration avec l'armée des frontières établie en Tunisie, par le biais de création de centres propres à elle destinés à l'entraînement des moudjahidine et au stockage des armes. Ces centres s'étendirent tout au long de la frontière. Nous pouvons citer: Ghardimaou, Tajerouine, El‑Kef et Sakiet Sidi Youcef.
Parmi les plus importants de ces centres, citons : l'École des cadres à Melag, l'École des experts en explosifs à El‑Kef, le centre d'entrainement à Garn Halfaia. La base de l'est joua un rôle prédominant dans l'organisation de l'Armée de libération nationale sur les frontières, plus particulièrement au début de l'année 1960, date à laquelle s'est implantée la structure de l'État major à Ghardimaou sous la direction du colonel Houari Boumediene. La région a vécu également les évènements de Sakiet Sidi Youcouf le 08 février 1958, date à laquelle les troupes aériennes françaises bombardèrent la région considérée alors comme le refuge d'un grand nombre de moudjahidines et de familles algériennes sur le sol tunisien.
Un grand nombre de batailles héroïques embrasèrent la région, conduites par de héros, enfantés par la région. Ils firent de la liberté leur slogan et de l'indépendance leur but. Presque chaque pan de la région était imprégné du sang des martyrs, l'exemple de la bataille d'El‑Houmaimim de Sidi Fredj à l'automne 1955, la bataille Djebel El‑M'ragha en décembre 1955, la bataille Eraâdia en mars 1956, la bataille de Boussassou en mai 1956, la batail du Djebel M'sid en juin 1956, la bataille de Djebel Beni Salah en février 1957, la bataille de Djebel El‑Ouassita en janvier 1958, la bataille de Djebel Sidi Ahmed en mai 1959, la bataille de Khanga Estara en 1960, et la bataille d'El Maâgoula en Novembre 1961. Â celà il faut ajouter les nombreux accrochages et embuscades.
La bataille de Oued Echouk (littéralement: Oued des épines), qui eut lieux le 26 avril 1958 est considérée comme la plus importante bataille de la révolution, sous le commandement de Mohamed Lakhdar Sirine. Aux 1 300 soldats de l'ALN l’Armée française opposa 6 bataillons d’infanterie, 4 régiments paras, 1 groupement blindé et un appui feux aérien et d’artillerie. 639 martyres tombèrent au champs d'honneur, ainsi qu'une centaine de soldats français. Cette bataille a montré la capacité de l'ALN à frapper et à infliger de lourdes pertes aux troupes française, malgré le rapport de force déséquilibré. Cette bataille dura plus d'une semaine sur un rayon de plus de 50 km.

- Toponymie :
Lion de Barbarie symbole de la ville
Souk Ahras est issu de la combinaison de deux mots, le premier arabe : souk (سوق) qui signifie « marché », et le deuxième berbère (chaoui) ahras (ⴰⵁⵔⴰⵚ) qui est le plurielle de Aher (ⴰⵁⵔ) et qui signifie « lions », et cela en raison de la présence de ces animaux jusqu'en 19308 dans ses forêts.
Nombres d'animaux féroces tués à Souk Ahras et sa région entre 1877-1892
Année 1877 1878 1879 1880 1881 1887 1891 1892
Lions 3 4 5 3 1 ? 1 ?
Panthers 2 7 5 7 2 8 2 4
Sources : Dr. Rouquette, Monographie de la commune mxte de Souk Ahras, 1904, p. 274
La deuxième légende rapporte que à l'origine elle s'appelait Souk Ras qui veux dire, Marché des têtes, la ville ayant abrité dans le passé un marché où l'on vendait des têtes momifiées d'animaux sauvages, notamment les lions les ours les éléphants et les guépards. Plusieurs dessins rupestres, notamment à Kef Lemsaoura, et des mosaïques, qui ont été trouvés sur des sites proches de la ville, montrent les scènes de chasse aux animaux sauvages.
L'ancien nom numide de la ville Thagaste dérive du berbère, Thagoust, dans le sens de sac, compte tenu du site de la ville située au pied d'une montagne entourée de trois cimes qui prend la forme d'un sac les contenant. Par la suite, quand les arabes pénétrèrent dans la région, elle fut appelée Soukara. Dans d'autres sources, elle est citée comme Le Palais de l'Africain, selon az-Zahiri.
- Population :
Les habitants de la ville de Souk Ahras sont d'origine berbères. Ils sont essentiellement issus des différentes régions de la wilaya de Souk Ahras et des wilayas limitrophes. Les premières tribus s'étant établies à Souk Ahras furent connues sous le nom des Papiria9,10, ou Babiria du nom de berbères, composée de Causses et de Syliactae11. Les tribus de Mousoulami et de Kirina y résidèrent. On peut citer parmi les autres tribus : les Hnanchas qui se sont développé le plus et les Hrakta qui ont tous des origines berbères. Ces tribus vivaient dans des tentes et pratiquèrent le nomadisme. Elles se sédentarisèrent plus tard et fondèrent des villes propres à chacune d'elles, dont la ville de Souk Ahras, ancienne Thagaste.
- Sports :
L'Entente sportive de Souk Ahras (ESSA), 
Crier en: 2 November 1957
Est le porte drapeau de la ville dans plusieurs sports, notamment le football, où elle évolue en ligue régionale d'Annaba.
- Le tour de Souk Ahras rassemble chaque année plus de 150 cyclistes de toutes les ligues algériennes.
- L'histoire sportive de la ville retient le boxeur Tabet Salah des années 1940/50 et l'équipe de football des années 1970 lorsque l'ESSA évoluait en 2e division et a gagné plusieurs coupes.
- Personnalités liées à la ville :
1-Saint Augustin, penseur et théologien
2-Martianus Capella, écrivain, physicien, auteur des Noces de Philologie et de Mercure
3-Apulée, écrivain latin, auteur de Métamorphose l'un des premier roman de l'histoire
4-Maxime de Madaure, auteur de Sophronime et Adélos, entretient philosophique
5-Nonius Marcellus, grammairien du latin, auteur de De compendiosa doctrina, dictionnaire en 20 volumes
6-Alypius de Thagaste, évêque de Taghast durant l'invasion vandale
7-Tacfarinas, révolutionnaire numide
8-Ahmad al-Tifachi, scientifique et auteur
9-Kateb Yacine, écrivain et militant, en est originaire
10-Tahar Ouettar, écrivain
11-Mustapha Kateb, acteur, homme de théâtre
12-Mohamed Chérif Messaadia, militaire et homme politique
13-Warda, chanteuse
14-Beggar Hadda, chanteuse de folklore algérien
15-El Hadj Bouregaa, poète et chanteur de folklore algérien
- Anecdotes :
Selon Elbert Green Hubbard, Tagaste est une « ville de haute classe, et de grande culture, où les livres étaient abondants, au point que la municipalité les distribuait gratuitement aux enfants, et que si quelqu'un achetait une brosse à dent, le vendeur lui offrirait un livre avec

Télépho : l'APC :+213(0)37 327 688- Fax:+213 (0)37 327 810


Site webhttp://www.wilaya-soukahras.dz/
http://soukahras.ansej.org.dz/Contacts.aspx
http://soukahras.unblog.fr/
http://soukahrastourisme.com/
http://www.souk-ahras.info/
http://www.cu-soukahras.dz/
http://www.radio-soukahras.dz/
http://www.saravoyages.com/soukahras.html
http://fr.wikipedia.org/wiki/Souk-Ahras





FICHE D'INSCRIPTION